Présentation

 ELIXIR DU SUEDOIS BIO SELON MARIA TREBEN

L'Elixir de longue vie (sans camphre)

Notre authentique Elixir du Suédois aux 87 plantes bio est fabriqué dans le strict respect de la formule préconisée par Maria TREBEN à la seule exception de l'abscence de camphre du fait de ses effets indésirables par voie interne sur une longue période.

Notre Elixir du Suédois bio est obtenu par macération de 8 plantes bio pour la plupart fraiches, dans trois solvants à la différence des élixirs du Suédois bio généralement proposés : l'alcool éthylique, l'eau et la glycérine végétale, chacun ayant un pouvoir d'extraction différent.

Après extraction, le tout est brassé avec du miel bio et certifié AB.

 L'éthanol va permettre l'extraction des principes actifs tels que les alcloîdes, les hétérosides divers (sulfurés, phénoliques, cyanogénétiques, etc...), les glycosides, certains acides...

• L'eau permet d'obtenir les principes hydrosolubles tels que les tanins, les sels minéraux, la plupart des flavonoîdes et certaines vitamines.
• Enfin la glycérine ou glycérol (origine végétale) permettra d'extraire pratiquements tous les autres principes actifs tels que les phénols, les huiles essentielles et les flavonoîdes, ainsi que les acides restant après l'extraction acqueuse. 

Cette composition déjà très riche est complétée de la Thériaque de Venise dont la formule a été retrouvée dans des manuscrits très anciens.

Cette dernière était selon la tradition préparée une fois l'an, au cours de grandes cérémonies, par les apothicaires de grandes villes ; celle de Venise était particulièrement célèbre pour son efficacité qui résidait essentiellement dans le choix judicieux de nombreuses plantes médicinales.

L'avantage de notre extrait fluide glycériné de l'élixir du Suédois réside dans le fait qu'il est le reflet exact des principes actifs des plantes utilisées, sans altération aucune:

Pas d'élévation de température altérant les flavonoîdes et les vitamines

• Pas de congélation préliminaire, modifiant la structure intermoléculaire de l'eau de la plante, importante sur le plan énergétique.
• Pas de broyage fin et ultra-rapide qui "casse" les membranes cellulaires des tissus composant les plantes qui met trop brusquement en contact enzymes et produits dégradables.
• La conservation de cet élixir du Suédois est parfaite même après ouverture du flacon.

Par son titre alcoolique très bas (environ 14,5% V), par sa forme liquide classique, par son emploi très simple et par son goût agréable, il permet un confort d'utilisation appréciable pour tous.

Une cuillerée à café dans un verre d'eau correspond à peine à un demi-degré alcoolique par prise.

Historique de L'Elixir du Suédois:

L’histoire de l’Elixir du Suédois est en fait intimement liée à celle, beaucoup plus ancienne, de l’Elixir de Longue Vie.

C’est donc jusque dans la plus haute antiquité qu’il faudrait rechercher l’origine de cet élixir, par exemple à Babylone ou en Egypte, où l’on sait que des récits circulaient à propos d’un remède mystérieux qui était censé assurer aux rois et aux prêtres une vie éternelle, à moins que ce ne soit à Rome où Néron ordonna à Hippocrate, Galien et Discoride de retrouver ou de réinventer la recette du fameux élixir.

Ensuite, ce fut dans tout le Moyen-Age que la recette circula, sans doute constamment revue et corrigée, et d’ailleurs présentée sous différents noms, comme Tinctura Aloes composita, ou Hiera picra composita, ou encore, plus fréquemment, Elixir ad longam vitam…

C’est d’ailleurs sous ce nom que Paracelse la réactualisa au 16^e siècle.

A cette époque l’élixir en question contenait des racines amères, de l’aloès, de la myrrhe et du safran.

On retrouvera ces divers ingrédients, additionnés de différents autres au gré des modes, dans de nombreuses recettes d’élixirs de longue vie, dans toute l’Europe, jusqu’au 18^e siècle où un médecin naturaliste suédois, le Docteur Jonathan Samst, la rédigea et en fixa définitivement la composition.

C’est évidemment en hommage à ce médecin, qu’aujourd’hui encore ce remède exceptionnel est appelé « Elixir du Suédois », médecin qui devait d’ailleurs – tout au moins si l’on en croit la légende – mourir à 104 ans d’une chute de cheval, car le bonhomme montait encore chaque jour malgré son âge canonique.

Jonathan Samst, qui avait hérité de la recette de l’élixir comme d’un secret de famille, était en fait convaincu qu’elle lui venait directement de Paracelse qui, lui-même, l’aurait reprise dans des documents de l’antiquité. Bref, il était persuadé d'avoir redécouvert le véritable élixir de longue vie.

Bien sûr, le remède n’avait rien de magique, mais il était tout de même d’une qualité exceptionnelle, puisque le Docteur Samst ne répertoria pas moins de quarante-six maux que l’élixir aurait soignés.

Ceci n’empêcha malheureusement pas le merveilleux élixir d’être oublié vers la fin du 19^e siècle où les victoires de la chimie moderne dans la médecine supplantèrent pour un temps l’usage des herbes médicinales.

Fort heureusement, au 20^e siècle, une spécialiste de la phytothérapie traditionnelle, l’Autrichienne Maria Treben, redécouvrit la recette de cet élixir qui, semble-t-il, refusait d’être perdu.